Réponse:
l'univers d'un avoué
Balzac cisèle dans la dentelle le portrait surprenant d'un avoué
Derville, que l'on sent mi honnête homme mi canaille, pouvant verser d'un côté ou de l'autre selon d'où vient le vent.
Les voies tortueuses de la justice ont de quoi surprendre : on encourage le Colonel Chabert à être vivant mais pas trop, à réclamer l'argent qui lui appartient mais pas tout, à laisser sa femme qui lui a juré fidélité vivre avec un autre homme.